King of Tokyo/New York
On doit toujours se méfier des oreilles indiscrètes.
Sur Twitter, on a pas l’espace pour écrire un titre de jeu. On fini par s’habituer aux acronymes. Ici, HoN, c’est Heroes of Normandie et M’44 c’est Mémoire 44 deux excellents jeux de plateau qui nous transportent dans la seconde guerre mondiale sur les plages du débarquement.
Et KoNY c’est King of Tokyo
Entre initiés, c’est correct d’utiliser des acronymes mais c’est drôlement difficile de suivre si on n’est pas informé.. Les HG en savent quelque chose.
Un jeu de dés, ça ne se choisit pas par hasard. Les Hard Gameurs le savent bien!
King of Tokyo de Richard Gardfield est un pur jeu de dés. On a un Yum survitaminé. On saupoudre de cartes qui bonifient les actions. On personnifie des Kaijus mythiques qui se tapent la gueule dans Tokyo. Et on s’amuse ferme sans trop réfléchir. Je n’ai pas aimé les extensions. L’auteur non plus. C’est pour ça que son nouveau jeu King of New York me plairait. Il a repompé ses règles en équilibrant les nouveaux ajouts de règle. Ce n’est pas une extension vite lancée par les éditeurs qui déséquilibre le jeu. King of NY est comme une version plus stratégique que King of Tokyo.
King of Tokyo est vraiment un jeu de hasard, mais on peut avoir de la stratégie . Même si on est éliminé, le jeu se déroule assez vite pour reprendre sa revanche.
Et je suis méchant de dire que KoT King of Tokyo n’est qu’un jeu de hasard. Il est très présent mais un bon joueur sera l’utiliser à son avantage. Mes Hard Gameurs n’ont pas compris la subtilité de ce jeu, il faut croire.
Les Hard Gameurs jouent à King of New York